Le lien entre la campagne médiatique du régime Legault contre les non vaccinés et le système de contrôle “Injection – Certificat – Récompense”
Depuis le début de janvier 2022, le gouvernement du Québec, par la voix de son Premier Ministre, diffuse un message de propagande particulièrement agressif envers les centaines
de milliers de Québécois qui ne se sont pas fait injecter toutes les doses requises des « vaccins » contre la COVID. Ce message, sans cesse répété, est amplifié par les médias.
Il suscite des réactions hargneuses dans la population et encourage l’extension des certificats sanitaires à tous les aspects de la vie pour atrophier l’existence des non vaccinés et les forcer ainsi à se plier, à leur tour, à l’injection collective.
Ce message de propagande, diffusé par le gouvernement, menace gravement notre société. Il divise la population et, surtout, il justifie l’installation d’un système de surveillance et de contrôle totalitaire qui dépasse, de loin, tout ce que nous avons connu et qui, s’il se concrétise, transformera radicalement notre société et détruira nos libertés.
Il s’agit d’un enjeu d’une gravité extrême aux conséquences incalculables.
Le but de cet article est d’analyser ce message du régime Legault en relation avec l’imposition du système de surveillance et contrôle qu’il tente d’installer ; un système basé sur le fichage « sanitaire » de toute la population et la mise en place de contrôles des accès dans tout l’espace public.
Quel est ce message ?
Le message répété et propagé depuis le début de janvier par le régime Legault et constamment amplifié par les médias se résume comme suit :
1. Les hôpitaux débordent, le système de santé peut s’écrouler !
2. 10% des québécois non vaccinés représentent 50% des hospitalisés COVID
3. Les non-vaccinés menacent notre système de santé !
4. Il faut les pénaliser d’avantage en les taxant et en élargissant l’utilisation des
passeports sanitaires.
De quel type de message s’agit-il ?
Il s’agit du message typique d’une prise de contrôle totalitaire. Les régimes fascistes et
communistes du vingtième siècle l’ont fréquemment utilisé. Voici ses composantes :
• Une dictature
• Répand un message de propagande primale
• Qui définit une menace intérieure
• Pour justifier un système de contrôle totalitaire qui s’appliquera à toute la population
Chacun des éléments en caractère gras est repris dans ce qui suit.
Le Québec est une dictature
Depuis le début de cette pandémie (mars 2020), toutes les composantes d’une dictature
sont en place et opèrent Québec. Ces composantes sont les suivantes :
• Gouvernance par décret. Le régime gère le Québec depuis deux ans sur la base
d’une loi considérée comme si antidémocratique qu’elle ne devait durer que dix
jours.
• Opposition factice. Les partis d’opposition présentent une diversité superficielle
d’opinions tout en collaborant avec les transformations radicales en cours.
• Médias de propagande. Derrière une façade fictive de journalisme, les médias
sont des organes de propagande au service du régime.
• Muselage des opinions divergentes. Les discours des marginaux sont encore
tolérés mais les médecins, politiciens ou journalistes qui osent diverger du narratif
de contrôle sont immédiatement pénalisés.
Dieu merci, il s’agit encore d’une dictature douce. Il n’y a pas d’exécutions, de tortures
ou de camps d’internement. Cependant, ce régime est, malgré tout, une dictature.
Propagande primale
Le message martelé par le régime et amplifié par les médias est un discours simpliste
conçu pour stimuler des émotions primales de hargne et de méfiance envers un groupe
intentionnellement marginalisé.
Voici ses caractéristiques :
• Il débute avec une menace urgente qui exige une réaction instinctive (Le système
de santé est sur le point de s’effondrer !!!).
• Des chiffres grossiers, non justifiés et non définis sont présentés comme des
données (10% -50%).
• Ces pseudo-données sont adaptés à l’objectif politique :
o 10% est la proportion idéale pour définir un groupe à ostraciser. 5%
soulève trop de questions sur l’efficacité des injections ; 20% rend
l’ostracisme moins justifiable.
o 50% est un ratio simple, instinctif, qui maximise l’impact du message au
niveau primal.
• Aucune justification. Dans une analyse de type scientifique, la thèse principale
est accompagnée d’une description de modèles alternatifs. Ici, aucun document,
aucune statistique, aucune définition des termes, aucune ventilation (par âge, par
région…) ne sont fourni.
Qu’est-ce qui permet au régime Legault de gueuler ce message simpliste impunément
pendant des semaines ? La dictature. Comme il n’y a pas d’opposition réelle ni de
journalisme authentique, personne ne conteste ce discours infantile.
La Menace intérieure
Depuis toujours, les dictatures identifient une Menace intérieure pour justifier les
mesures totalitaires qu’ils imposent à leur population. Ainsi, les nazis ciblaient les juifs et
les staliniens visaient les petits-bourgeois.
Cette Menace intérieure provient toujours d’une petite portion de la population, plus ou
moins visible, disséminée sur tout le territoire, qui menace la sécurité collective. Le
danger qu’ils représentent est souvent diffus mais il est toujours associé à un rejet plus ou
moins explicite, du pouvoir. Comme le régime totalitaire s’identifie lui-même au bien
commun, quiconque rejette ses consignes menace le bien-être collectif.
Dans notre société, les non-vaccinés constituent un groupe idéal à ostraciser puisqu’ils ne
sont pas défini à partir des critères officiellement protégés (race, religion, genre…). De
plus, un refus de l’injection implique un rejet implicite du narratif sanitaire du régime.
Ce groupe, politiquement utile, « les non-vaccinés », est défini en isolant une variable (le
statut vaccinal) et en ignorant toutes les autres (âge, région, sexe, comorbidité…). Pour
voir à quel point le matraquage médiatique du régime Legault est biaisé, il suffit de
songer à des discours qui seraient tout aussi réalistes dans ce contexte mais sont
politiquement indésirables.
Par exemple :
• Les ainés remplissent nos hôpitaux ; il faut les taxer.
• Les jeunes non vaccinés ne sont pas hospitalisés, ils ne posent aucune menace au
système de santé ; pourquoi les opprimer.
Ce dernier exemple montre à quel point l’agenda du régime dépasse la question sanitaire.
Un virus qui affecte presqu’uniquement les ainés sert de prétexte à des pénalités imposées
aux plus jeunes.
Système de contrôle totalitaire
Le « certificat sanitaire » que le régime nous présente comme une mesure visant à inciter
les non-vaccinés à se faire injecter est, en réalité, un système de surveillance et de
contrôle discrétionnaire, qui s’applique à toute la population et dont la portée est extrême.
Comme nous l’avons tous découvert au cours des deux dernières années, la raison
sanitaire est au dessus des lois et des chartes.
C’est difficile d’imaginer un contrôle étatique plus total et plus discrétionnaire sur nos
vies que ces « certificats ». Ce sont des passeports intérieurs dont l’application s’étend
jusqu’aux aspects les plus insignifiants de l’existence.
Déjà, leur portée est extrême. Le certificat vaccinal est aujourd’hui requis pour accéder
aux études, participer à la vie publique, se déplacer et même manger un hot-dog dans un
centre d’achat.
Que personne ne se leurre : ceux qui imposent ces mesures disent toujours qu’elles sont
« temporaires » avant de les rendre permanentes.
Le système de surveillance et contrôle « injection-certificat-permission », centré sur
l’utilisation de certificats sanitaires, représente la plus grave menace de notre
génération. Si les régimes qui nous gouvernent parviennent à l’installer ils détruiront une
société de citoyens libres et la remplaceront par un cheptel humain totalement contrôlé.
Le cartel mafieux de mondialistes qui a déclenché l’agression du « Great Reset » pourra
alors lui imposer ses agendas les plus radicaux sans aucune résistance.
Toute la population
L’injection nous est présentée comme une activité strictement sanitaire et plutôt anodine.
Il s’agit aussi d’un rituel d’une portée psychologique immense. Le vacciné endosse le
régime et ses discours avec sa propre chair. La répétition des doses le pousse à
abandonner toute résistance subséquente. On varie les vaccins, on change les échéances,
on raconte des absurdités… tout passe, plus personne ne résiste. Un lien initiatique se
crée alors entre les injectés et « leur » régime. Ils deviennent « fiers » de leur certificat
sanitaire et encouragent l’état à s’en servir pour brimer les exclus.
Cet aveuglement permet au régime d’installer un système de contrôle social extrême qui
s’étend à toute la population avec le consentement de la majorité! Le même aveuglement
incite les détenteurs de certificats sanitaires valides à applaudir les menaces du régime
contre les non-vaccinés sans s’apercevoir qu’ils sont, eux-mêmes, indirectement visés.
En résumé :
Sous prétexte de pénaliser une minorité, le régime contrôle la majorité
En menaçant une minorité, le régime intimide la majorité.
Ainsi, dans l’aveuglement général, les régimes qui nous gouvernent installent un système
de contrôle qui nous affectera tous, vaccinés ou pas. Pour jauger à quel point ce système,
supposément réservé aux non-vaccinés, est totalitaire et intimidant, il suffit de songer à la
troisième dose.
Le ministre Dubé a annoncé, en effet, qu’en février une troisième dose serait requise pour
être pleinement vacciné. Combien de doublement vaccinés oseront maintenant la refuser?
Ils n’ont plus le choix s’ils veulent conserver leurs privilèges. Telle est l’emprise de ce
système!
Lueur d’espoir
Nous faisons face à une menace grave. Une caste de milliardaires a décidé que nos
libertés avaient assez duré. La pandémie est leur opportunité et nos élites collaborent avec
le putsch planétaire qu’ils ont déclenché.
Cependant, le variant Omicron, trop contagieux et pas assez virulent, menace l’état de
crise sanitaire qui justifie l’agenda totalitaire. Certain pays reculent, des états américains
se rebellent, des voix de plus en plus fortes et nombreuses s’opposent aux mesures…
À mon avis, l’agression se poursuivra encore mais, qui sait, nous connaitrons peut-être,
dans les prochains mois, une levée des contrôles sanitaires et un recul de l’agenda
mondialiste.
Si c’est le cas, ce sera une trêve. Ces mondialistes et nos politiciens qui les servent
s’acharnent depuis deux ans contre nos libertés. S’ils reculent, cette fois, ils seront
toujours en place et prêts à recommencer.
Jean Tardy
Chroniqueur Sciences et Technologies